On s’en fout mais on vous le raconte |
Écrit par Saintlaurentduvar.net | |||
Samedi, 22 Juin 2013 19:55 | |||
Comme à son habitude le site acslv fait un compte rendu du conseil municipal surement subjectif mais c’est un peu normal. Ce qui a attiré notre attention c’est l’attaque en règle du webmaster à la fin du sujet à l’encontre de Nice Matin.
Extraits:
« Question, qui concerne la crédibilité de cet article : La réunion entre le Maire et les commerçants des Flots bleus a eu lieu vendredi après-midi, salle Ferrière et aucun journaliste n’était présent !!!
Réponse de Nice Matin Dans ce texte, vous évoquez encore la réunion avec les commerçants des Flots bleus. Vous vous questionnez sur la crédibilité de l'article relatant ce rendez-vous, en assurant qu'« aucun journaliste n'était présent ».
« Le responsable en question commence ainsi son billet « Ah le vilain petit canard ! Ce journal local qu’à Saint-Laurent, on pourfend allègrement en fin de conseil municipal » déjà, comment peut-il se permettre d’écrire cela, il n’assiste jamais aux conseils municipaux ! »
Réponse de Nice Matin En revanche, quand j'écris le paragraphe auquel vous faites allusion, je pense à ces quelques Laurentins courageux qui nous parlent encore et qui, à la parution de l'article, voient débarquer les hommes du maire pour leur envoyer en substance : « on n'a pas compris ce que tu as voulu dire dans le journal » ou encore « avec tout ce qu'on fait pour toi... », allusion non feinte à une subvention ou tout autre fait.
L’auteur de l’article conclut : Les laurentins, futurs électeurs, ne sont plus informés correctement. Au motif que la municipalité ne communique plus avec cette équipe, celle-ci a pris la liberté d’écrire sans pouvoir vérifier la véracité des informations, peu importe, on transgresse allègrement, fi de la déontologie et de l’exactitude, on brode sur ce que l’on suppose. Ce qui compte c’est d’épingler Henri Revel, au profit de ses opposants. » « La campagne est encore longue, et à leur niveau, n’en doutons plus, tout sera fait pour abattre l’homme. Cela me rappelle un certain Nicolas…la crise, le mal être des uns et des autres, le départ du poisson rouge et du canaris, tout était de sa faute ! Heureusement, maintenant, nous avons un bout de fromage dans l’assiette et un avenir radieux ! C’est vrai quoi, que valent la capacité, les compétences et l’expérience, face au néant ? »
Conclusion T. Suire, Chef d'agence Nice Matin Cagnes sur Boursier.com
Les sources
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