Pour un homme politique, ne pas être sur Facebook relève aujourd'hui d'un acte de résistance. Non-affichage... volontaire. Et ces récalcitrants seraient-ils les nouveaux suicidaires du XXIe siècle ?

Les autres, les fondus, les barjots du réseau social créé par Mark Zuckerberg, se livrent à une étrange course à l'échalote : la course à l'« ami ». Car tous les politiques caressent le même rêve : en avoir le plus possible.

Avec un Dieu. Seul et unique : Barack Obama et ses 17 millions de fans à travers le monde.

Les « amis » : une façon, pour un politique d'afficher une (pseudo) popularité. Et, sur le net, c'est la débandade copinesque virtuelle. La frénésie amicale. Avec son lot de situations cocasses. Qui font qu'un élu défendant des valeurs judéo-chrétiennes peut se retrouver « ami » avec Alexandre Le bienheureux ou encore Clara Morgane.

La suite