Brèves
Écrit par Saintlaurentduvar.net
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Jeudi, 17 Octobre 2013 06:10 |
Extrait Aujourd'hui en France: "La famille Dibrani (six enfants, dont le dernier a 17 mois), arrivée illégalement en France en janvier 2009, était sommée de quitter le territoire depuis deux ans et malgré plusieurs examens de leur demande d’asile, toujours rejetée. Selon la préfecture, « les intéressés ne remplissaient pas les critères de résidence », et « présentaient d’insuffisantes perspectives d’intégration sociale et économique ». Une version, nuancée par le maire de Pontarlier : « Les enfants s’étaient intégrés […]. La famille avait établi des liens… mais leur situation était illégale » estime l’élu. Au bout de la ligne, Maria, bientôt 17 ans, l’aînée, confie les heures déchirantes qui ont suivi le départ. « On pleurait dans l’avion », relate cette élève de CAP restauration hôtellerie. Maria, qui comme Leonarda voit son avenir en France, espérait être bientôt régularisée. Une procédure à laquelle elle aurait pu prétendre… dans quelques semaines. « Après cinq ans de présence sur le territoire et trois ans de scolarité », souligne Pierre Henry, directeur de France Terre d’asile. « La loi ne prévoit pas un retour, ce serait alors une décision politique », poursuit le responsable de l’association.
Alors on se pose une question: comment les enfants ont pu être scolarisés en situation irrégulière vu le nombre de papiers que l'on demande?
Intégré ou non? Ok mais si l'on devait ne regarder que cela, ce serait la porte ouverte à tout et tout le monde.
Rester 5 ans en situation irrégulière pour bénéficier d'un autre procédure alors que la justice a ordonné le départ plusieurs fois... Pas logique non plus. Mr Manuel Valls vous avez eu raison: La loi est la même pour tout le monde. |
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Écrit par Saintlaurentduvar.net
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Lundi, 14 Octobre 2013 11:23 |
Marc Moschetti fut le premier à se lancer dans la campagne des municipales en mars 2013. Après des multiples attaques lors du lancement de sa campagne contre Marc Orsatti et Henri Revel, Marc Moschetti a disparu des débats, à croire que le soufflet est retombé. Le candidat, qui était énormément présent sur le net, est de plus en plus invisible même s'il indique sur son blog (qui tourne lui aussi au ralenti) qu'il préfère les rencontres sur le terrain. Nous avons tenté plusieurs fois de le joindre mais le candidat de droite a préféré ne pas nous répondre. Dommage! Nous suivrons tout de même la suite qu'il donnera à sa campagne, qui manque singulièrement de rythme. {jcomments on} |
Écrit par Saintlaurentduvar.net
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Lundi, 14 Octobre 2013 07:25 |
Françoise Benne n'est pas tendre avec deux des candidats de droite. Les autres, elle les ignore: " Je ne souhaite pas entrer dans une polémique". Concernant Joseph Segura: "Je respecte Mr Segura, mais son opposition n’est pas constructive. Il invoque ses 28% aux dernières municipales pour dire qu’il rassemble mais ce n,’est pas ce que j’entends dans saint Laurent." déclare la nouvelle candidate de droite à Nice Matin. Elle n'épargne pas son leader actuel, Henri Revel : "On a l’impression qu’il n’a pas de projet et qu’il n’a plus envie."
Il y a quelques semaines pourtant...
![](/images/stories/benne.jpg)
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Écrit par Alain
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Allez on va vous le dire,; on aime bien Nadine Morano sur ce site car ses déclarations sont, souvent, faites sans langue de bois mais là... elle frise le ridicule. Bien sûr que Guy Bedos est dans l'excès, bien sûr qu'il dépasse les bornes... mais c'est son style et nous, on aime.
Alors Nadine arrête faire parler de toi pour des futilités. Bravo Guy et continue comme ça et comme cela que l'on t'aime.
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Mise à jour le Samedi, 12 Octobre 2013 20:10 |
Écrit par Nice Matin
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Jeudi, 10 Octobre 2013 06:36 |
«Je ne soutiens plus le maire». La conseillère municipale Michèle Cignetti a franchi le pas. Et choisi de soutenir Joseph Ségura, sans dire encore si elle figurera sur sa liste ou non.
En avril dernier déjà, Michèle Cignetti avait pris sa décision de ne pas repartir sur la liste Revel aux prochaines municipales. Mais elle a attendu six mois pour l’annoncer.
«Après cinq années d’investissement total sans aucun retour du maire, je me désolidarise de son action». «J’ai assisté à toutes les réunions des commissions municipales dont je fais partie depuis 5 ans. J’aime bien faire avancer les choses. J’ai tout pris à cœur. Je me suis battue pour obtenir un logiciel pour assurer le traitement et le suivi du courrier reçu à la mairie. Avec des jeunes du conseil municipal, on a fait des permanences, on est allés à la rencontre des Laurentins dans la rue. Mais cela n’intéressait pas le maire et ses proches», regrette-t-elle. Michèle Cignetti parle de 2008-2014 comme du «mandat de trop». |
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