Que ceux qui s'inquiètent de l'impact qu'aura la future extension de Cap 3 000 sur une circulation déjà difficile, surtout aux heures de pointe, se rassurent.

C'est le bureau d'études Egis Mobilité, pour le compte de la société Altarea, propriétaire de Cap 3000, qui le dit. Et la métropole aussi, puisque c'est elle qui assurera la maîtrise d'ouvrage. Et ces ingénieurs sont venus le rappeler aux Laurentins lors d'une réunion publique, images de synthèses animées à l'appui. Qui n'ont pas forcément convaincu tout l'auditoire.

Plus 45 % de trafic à l'horizon 2026

Le trafic à venir d'abord. Selon le cabinet d'études, à l'horizon 2026, les 26.000 m² de nouvelles surfaces commerciales vont générer un trafic supplémentaire augmentant de 34 à 45 % selon les heures par rapport à la situation actuelle.

Alors pour éviter le trop-plein de voitures, les voies d'accès actuelles à Cap 3 000 seront restructurées et de nouvelles seront créées. L'accessibilité aux modes doux - pour l'instant quasi inexistante - et celle aux transports en commun seront renforcées. Et en parallèle, l'offre de stationnement sera augmentée.

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